Historique : Fin XVIIIe siècle

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1751 - Encyclopédie ou dictionnaire raisonné des sciences,

des arts et des métiers. Tome II. Cadran ou cadran solaire. À Paris en 17 volumes de discours et 11 volumes de planches - Jean le Rond d’Alembert (1717-1783)

À la suite de la Cyclopaedia d’Ephraïm Chambers, cet ouvrage marque le début de l’aventure encyclopédique française, oeuvre éditoriale titanesque et sans précédent. Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, l’encyclopédie Diderot sera remodelée sous 3 formes : des suites, des contrefaçons et des successeurs (pour plus de détails voir cette page). Dans cette bibliographie ne seront cités que les suites et les successeurs en ne mentionnant à chaque fois que la première édition.

Voir aussi dans cette encyclopédie :

1753 - Le mouvement de la lumière ou premiers principes d’optique.

Premiers principes de la gnomonique. À Paris - Jean Trabaud

1753 - Dictionnaire universel de mathématique et de physique.

Tome I. Cadran ou horloge solaire. À Paris - Alexandre Savérien (1720-1805)

Voir aussi dans ce dictionnaire :

Thème : 3 points d’ombre

1758 - Le mercure de France. Mois de février.

Lettre à l’auteur du Mercure, au sujet d’un cadran singulier. À Paris

1758 - Le journal des sçavans.

Sur une nouvelle forme de cadran solaire. À Paris - Joseph Jérôme de Lalande (1732-1807)

C’est le cadran singulier présenté dans Le Mercure de France de février 1758 que J. de Lalande développe ici. Ce cadran l’a visiblement marqué car il ne manquera pas de le décrire dans les grandes encyclopédies de la fin du XVIIIe siècle auxquelles il a collaboré notamment :

J. de Lalande pensait que ce cadran était le premier de cette espèce, c’est du moins ce que rapporte le baron de Zach dans un commentaire de sa Correspondance de 1819 volume III, p. 62, où il détaille les références qu’il a pu collecter sur ce type de cadran.

1758 - Histoire des mathématiques.

Tome I. À Paris - Jean-Étienne Montucla (1725-1799)

1758 - Description et usage d’un calendrier à compas.

À Paris - Anonyme

C’est une sorte de catalogue d’instruments de mathématique avec mode d’emploi. À la fin de l’ouvrage se trouvent les deux chapitres :

1760 - La gnomonique pratique,

ou l’art de tracer les cadrans solaires avec la plus grande précision. À Paris - François Bedos de Celles (1709-1779)

Réédition augmentée de 1774

Réédition de 1780

Réédition de 1790

1761 - Recherches sur la gnomonique,

les rétrogradations des planètes, et les éclipses de soleil. À Paris - Achille Pierre Dionis du Séjour (1734-1794) et Mathieu Bernard Goudin (1734-~1805)

1762 - Histoire de l’académie royale des sciences.

Année 1757. Problème de Gnomonique. Tracer un cadran analemmatique, azimutal, horizontal, elliptique, dont le style soit une ligne verticale indéfinie. À Paris - Joseph Jérôme de Lalande (1732-1807)

1764 - Mémoire sur la colonne de la halle aux bleds,

et sur le cadran cylindrique que l’on construit au haut de cette colonne. À Paris - Alexandre Guy Pingré (1711-1796)

1765 - Manuel utile et curieux sur la mesure du temps.

À Angers - Gabory

Réédition de 1770

1766 - Histoire des progrès de l’esprit humain

dans les sciences exactes, et dans les arts qui en dépendent. Histoire de la gnomonique. À Paris - Alexandre Savérien (1720-1805)

Réédition de 1776

1767 - Le journal des sçavans.

Nouveau cadran solaire. À Paris - Joseph-Étienne Bertier (1702-1783)

Ce cadran fera l’objet d’une réalisation, comme le rapporte le Journal encyclopédique d’août 1771, p. 457

1768 - L’horologiographe universel,

ou méthode générale, très-juste, courte en facile pour faire toute sorte de montres solaires dans tout l’univers. À Paris - Anonyme

1771 - Encyclopédie, ou dictionnaire universel

raisonné des connaissances humaines. Tome VI. Cadran ou cadran solaire. À Yverdon en 48 volumes de texte et 10 volumes de planches - Mis en ordre par Fortunato Bartolomeo De Felice (1723-1789)

Voir aussi dans cette encyclopédie :

1773 - Gnomonique mise à la portée de tout le monde,

ou méthode simple et aisée pour tracer les cadrans solaires. À Paris - Joseph-Blaise Garnier

1776 - L’art d’exploiter les mines de charbon de terre.

Seconde partie, 4e section. Des instrumens propres à mesurer le tems & à marquer les heures. À Paris - Jean-François-Clément Morand (1726-1784)

Ce volume fait partie de la collection Descriptions des arts et métiers, faites ou approuvées par Messieurs de l’académie royale des sciences de Paris publiée de 1761 à 1782 et dont une seconde édition sera imprimée à Neuchâtel entre 1771 et 1783 (voir ci-dessous).

1776 - Supplément à l’Encyclopédie,

ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers. Tome II. Cadran solaire. À Amsterdam en 4 volumes de discours, 1 volume de planches et 2 volumes de table analytique - Jean de Castillon (1704-1791)

Voir aussi dans ces suppléments :

1777 - Encyclopédie ou dictionnaire raisonné des sciences,

des arts et des métiers (réédition suisse). Tome V. Cadran ou cadran solaire. À Genève en 36 volumes de texte et 3 volumes de planches.

Voir aussi dans cette encyclopédie :

1777 - Abrégé élémentaire d’astronomie,

de physique, d’histoire naturelle, de chymie, d’anatomie, de géométrie et de méchanique. À Paris - Julien Taibout (17??-1779)

1777 - Éléments d’arithmétique, de géométrie et d’algèbre.

À Montauban - Jean-Jacques-Marie-Joseph Chalret (1744-1836)

Réédité en 1782

Réédité en 1787

1778 - Récréations mathématiques et physiques.

Tome III. Septième partie, contenant les problèmes les plus curieux & les plus remarquables de la gnomonique. À Paris en 4 volumes - Jacques Ozanam, édition refondue et augmentée par Jean-Étienne Montucla (1725-1799)

Réédition de 1790

Réédition de 1791

Thème : 3 points d’ombre - Jacques Ozanam

1780 - Descriptions des arts et métiers,

faites ou approuvées par Messieurs de l’académie royale des sciences de Paris. Tome XVII. L’art d’exploiter les mines de charbon de terre. Seconde partie, 4e section. Des instrumens propres à mesurer le tems & à marquer les heures. À Neuchâtel - Jean-François-Clément Morand (1726-1784)

1781 - Méthode nouvelle et générale

pour tracer facilement des cadrans solaires sur toutes surfaces planes. À Caen - Jacques Gervais de La Prise

Thème : 3 points d’ombre

1782 - La gnomonique théori-pratique,

ou les principes de géométrie, de trigonométrie rectiligne et sphérique ; sur lesquels est fondé l’art de tracer les cadrans sciatériques ou solaires. À Paris - Abbé Dulac

1784 - Encyclopédie méthodique.

Dictionnaire des Mathématiques. Tome I. Cadran solaire. À Paris - Joseph Jérôme de Lalande (1732-1807)

Voir aussi dans ce dictionnaire :

La publication de l’encyclopédie méthodique s’étalera sur 50 ans et comportera 157 volumes de texte et 53 volumes de planches (soit 15 mètres linéaires). On trouvera des détails intéressants concernant la composition du dictionnaire des mathématiques sur cette page.

Thème : 2 points d’ombre

1786 - Nouveaux mémoires de l’académie

royale des sciences et belles-lettres (de Berlin). Année 1784. Sur la Gnomonique. À Berlin - Jean de Castillon (1704-1791)

On pourrait s’étonner que les mémoires de cette académie allemande soient en français : on trouvera dans la préface de l’Histoire de l’académie de Berlin pour l’année 1745 la raison de ce choix.

1786 - Traité analytique des mouvemens apparens des corps célestes.

Tome I. À Paris - Achille Pierre Dionis du Séjour (1734-1794)

1788 - Petit traité de gnomonique,

ou l’art de tracer les cadrans solaires. À Paris - Polonceau

1792 - Encyclopédie méthodique.

Dictionnaire encyclopédique des amusemens des sciences mathématiques et physiques. Amusemens de gnomonique. À Paris

C’est principalement la refonte de Montucla des Récréations mathématiques d’Ozanam, 1778 (voir plus haut).

Voir aussi dans ce dictionnaire :

À partir du 22 septembre 1794 (1er jour de l’an III) et 
pendant 6 mois et demi, la France vit à l’heure décimale

1799 (An VII) - Histoire des mathématiques.

Nouvelle édition, considérablement augmentée. Tome I. À Paris - Jean-Étienne Montucla (1725-1799)


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